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Le monastère de Tatev, en ´¡°ù³¾Ã©²Ô¾±±ð Le monastère de Tatev, en ´¡°ù³¾Ã©²Ô¾±±ð 

´¡°ù³¾Ã©²Ô¾±±ð: un sommet de la Francophonie en terre francophile

C'est une fierté pour les ´¡°ù³¾Ã©²Ô¾±±ðns. La capitale arménienne d’Erevan qui vibrait des soubresauts de sa «douce révolution» il y a encore quelques mois, se pare d’atours diplomatiques ces 11 et 12 octobre pour accueillir la 17ème édition du sommet de la Francophonie.

Entretien réalisé par Delphine Allaire – Cité du Vatican

Emmanuel Macron, Justin Trudeau et nombre de chefs d’Etats africains se presseront à Erevan deux jours durant, participant avec leur délégation au sommet de la Francophonie organisé par l’OIF (Organisation internationale de la Francophonie).

Mais quelle place pour le français au pays d’Aznavour et d’Aram Khatchaturian ? Seuls 42 000 francophones sur 2,5 millions d'Arméniens sont francophones, selon une étude de l'OIF parue en 2010, mais la langue de Racine et Corneille peut se targuer d’une puissance d’attraction sans pareille, véhiculée par toute une culture populaire.

Entretenu depuis le XVIIIème siècle, le soft power français semble immuable dans l’ancienne république soviétique du Caucase.

Le professeur Jean Marc Lavest, recteur de l'Université française en Arménie basée à Erevan la capitale, raconte sur les ondes de Radio Vatican l’histoire et les raisons d’une telle fascination.

Entretien avec le professeur Jean Marc Lavest, recteur de l'Université française en Arménie

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11 octobre 2018, 07:26