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Photo d'illustration - Une malade de la l¨¨pre sur le continent africain Photo d'illustration - Une malade de la l¨¨pre sur le continent africain 

Pour enfin vaincre la l¨¨pre, la n¨¦cessit¨¦ d¡¯un d¨¦pistage pr¨¦coce

? l¡¯occasion de la Journ¨¦e mondiale des l¨¦preux ce dimanche 28 janvier 2018, la fondation Raoul Follereau rappelle que des milliers de nouveaux cas sont toujours d¨¦tect¨¦s chaque ann¨¦e. La d¨¦tection de la maladie, d¨¨s les premiers sympt?mes, demeure l¡¯un des principaux d¨¦fis face ¨¤ des populations mal inform¨¦es.

Entretien réalisé par Samuel Bleynie ¨C Cité du Vatican

Maladie souvent associée à des époques lointaines, la lèpre n¡¯en reste pas moins un fléau d¡¯aujourd¡¯hui.  Chaque année, 200 000 nouveaux cas sont détectés, soit un malade signalé toutes les deux minutes.

Pourtant, après trois décennies de progrès dans le dépistage et le traitement des malades, l¡¯Organisation mondiale de la santé (OMS) avait supprimé la lèpre de sa liste des problèmes de santé publique au début des années 2000. Mais depuis, le nombre de cas dépisté stagne.

L¡¯un des enjeux reste de rejoindre les populations pour détecter au plus tôt la maladie. Car si on guérit de la lèpre, on ne guérit pas de ses conséquences. «Si la lèpre est détecté trop tard, la vie du malade change. Pour toujours», rappelle la fondation Raoul Follereau, à l¡¯occasion de la Journée mondiale de la lèpre, ce dimanche 28 janvier 2018.

Le docteur Bertrand Cauchoix, conseiller médical de la Fondation Raoul Follereau, explique cette stagnation du dépistage et évoque des pistes de solution.

Entretien avec le docteur Bertrand Cauchoix

 

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27 janvier 2018, 08:41