Bio¨¦thique: le p¨¨re Saint?t invite ¨¤ faire le lien entre les diff¨¦rentes ¨¦thiques
Quel monde voulons-nous pour demain? C¡¯est autour de cette question que se poursuivent les États généraux de la bioéthique en France. Ouverte en janvier dernier, cette vaste consultation entend recueillir l¡¯opinion de la société française sur plusieurs thèmes tels que l¡¯intelligence artificielle, la fin de vie, la procréation médicalement assistée (PMA), la gestation pour autrui (GPA) ou encore la recherche sur l¡¯embryon.
Ces États généraux sont organisé par le Comité consultatif national d¡¯éthique (CCNE) et prévoit, d¡¯ici au 7 juillet prochain, une soixantaine de débats qui doivent éclairer les responsables politiques qui porteront la révision de la loi à la fin de l¡¯année 2018.
L¡¯Église de France participe activement aux débats. Le groupe de travail bioéthique des évêques de France a notamment préparé des fiches de réflexion sur différents thèmes abordés.
Son action a été saluée par Mgr Paglia, qui a évoqué le «service excellent» du groupe de travail en France. Le président de l¡¯Académie pontificale pour la Vie a accueilli, ce mardi 17 avril 2018, plusieurs membres de ce groupe pour participer à une journée d¡¯étude, la première du genre. Parmi eux: le père Bruno Saintôt, jésuite, responsable du département éthique biomédicale du Centre Sèvres, à Paris. Il revient sur l¡¯importance d¡¯une approche interdisciplinaire tenant compte de la dignité de la personne.
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